Avis Age of Empires II : Édition définitive – Critique

• résumé pour paresseux
• Noter
• Avantages et inconvénients

Bien que la popularité des jeux de stratégie en temps réel ait beaucoup chuté ces dernières années, la grande majorité des joueurs se souviennent encore avec émotion de jeux comme Age of Empires/Mythology et Warcraft, et beaucoup aimeraient pouvoir jouer à des jeux similaires à ceux-ci.

Heureusement, Microsoft Studios a décidé de ramener définitivement le RTS le plus populaire des années 2000, et je ne pourrais pas être plus heureux de dire qu’ils l’ont cloué dans cette nouvelle édition.

Age of Empires II: Definitive Edition rassemble tout le contenu précédemment publié pour Age of Empires II (y compris ses extensions) en un seul endroit et sous une forme remasterisée.

Des campagnes classiques Attila le Hun et Jeanne d’Arc aux cartes multijoueurs, toutes les textures, particules et effets ont été remaniés pour mieux s’adapter à aujourd’hui.

Pour le plus grand plaisir de nombreux fans, le gameplay reste exactement le même. Et même si le jeu ramène toute la nostalgie de plusieurs nuits passées à combattre des amis sur des cartes Age II, j’avais toujours l’impression de jouer à un tout nouveau jeu pendant toutes mes heures sur l’édition définitive.

Et cela est dû aux nouvelles que le jeu a apportées. En plus de rassembler tout le contenu des versions précédentes d’Age of Empires II, l’édition définitive propose également de nouvelles campagnes et de nouvelles civilisations, ajoutant du contenu solo et multijoueur en même temps. Au total, il y a 3 nouvelles campagnes qui font partie de l’ensemble « The Last Khans », et 4 nouvelles civilisations pour une utilisation en ligne/locale, totalisant 35 civilisations.

Bien que le gameplay d’Age II soit fondamentalement le même parmi toutes les civilisations, chacune d’entre elles a toujours ses particularités. Chaque civilisation a des troupes uniques, telles que les lanceurs de hache français et les samouraïs japonais, et des bonus passifs qui correspondent à l’histoire de chaque civilisation. Les unités de pêche japonaises sont bien plus performantes que celles de certaines civilisations d’Afrique par exemple.

De plus, les bâtiments changent visuellement en fonction de la civilisation choisie, et le niveau de détail est tout simplement impressionnant. Il est possible de distinguer la civilisation d’un adversaire simplement en regardant ses bâtiments, ce qui est vraiment surprenant pour un jeu de 1999.

Les trois nouvelles campagnes présentent des heures de contenu nouveau et stimulant tout en restant fidèles à l’historique. Ces campagnes plairont à coup sûr aux amateurs d’Age of Empires en raison des événements historiques traités dans le mode solo du jeu.

Même si les campagnes d’Age II sont très amusantes, la grande majorité des fans sont beaucoup plus intéressés par le mode en ligne du jeu. En parlant de cela, le mode en ligne d’Age of Empires II: Definitive Edition est 100% fonctionnel et exempt de bugs et de décalage, et les matchs auxquels j’ai joué m’ont fait réaliser que je suis bien pire au jeu que dans mon souvenir.

Les fans inconditionnels perdront probablement d’innombrables heures à jouer en ligne contre des amis ou des personnes au hasard sur Internet. Trouver un match en ligne n’a jamais été aussi simple et facile dans Age II.

Je n’ai pas assez d’éloges à donner à l’équipe de Microsoft. Le travail investi dans cette édition définitive en vaut la peine. Ramener de vieux jeux sur le marché n’est pas une mince affaire, mais Age of Empires II a fait un retour triomphal.

Quoi qu’il en soit, comme son nom l’indique déjà, Age of Empires II : Definitive Edition est vraiment le moyen définitif de profiter du RTS classique. Avec des graphismes améliorés, de nouvelles campagnes et civilisations, une bande-son sensationnelle et le même gameplay addictif du jeu original, Age of Empires II revient triomphalement sur PC et plaira à coup sûr aux vétérans nostalgiques comme aux nouveaux venus curieux.

Revue faite avec une copie du jeu pour PC fournie par Microsoft do Brasil.